En Une.
Quel show
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 ... 357,0.html
Attention, c'est le début de la gloire (et de la distribution massive)
Bonne journée à tous.
La Dionée dans Le Monde !!
Re: Le Monde !
C'est deja un peu le cas....Jean-Marc a écrit :Attention, c'est le début de la gloire (et de la distribution massive)
"Il aurait un rire sardonique qui inspire la terreur, pas trop sardonique quand même, parce qu'il sait pas ce que ça veux dire...
quand c'est mal fait ça fait pas peur !"
quand c'est mal fait ça fait pas peur !"
Bonjour.
Un extrait de mon site à propos de la fermeture:
"...
Il semble que lorsque le piège est ouvert, les cellules de proches de la charnière et celles de la face interne ont une plus grande pression hydrostatique interne que les cellules de la face externe du piège. Cette plus grande pression hydrostatique (turgescence) est responsable d'un élargissement des cellules interne tout en laissant les cellules externes en l'état, de sorte que les lobes se tiennent écartés. Cette turgescence est due a des protéines, agissant comme des pompes, qui transportent de l'extérieur vers l'intérieur de la cellules des ions et des solutés (principalement des sels de potassium). Lorsque les potentiels d'action atteignent les cellules motrices, elles les perdent brutalement en conduisant à la fermeture des lobes. Cette explication semble être la plus favorable (Findlay, 2000).
Une autre théorie plus ancienne est discutable (Williams et Bennet, 1982) propose que la fermeture du piège s'avère être une réponse sous forme d'une croissance (turgescence) rapide des cellules motrices de la face externes des lobes. A la manière d'une bilame, la couche externe grandit tandis que la couche interne reste identique. La croissance cellulaire serait due à une acidification du milieu externe ayant pour conséquence une diminution des forces ioniques responsables de l'assemblage des fibres (polymères) qui constituent la paroi cellulaire solide. Comprimées contre leur paroi, les cellules profitent du ramollissement de leur coque pour s'étendre, un phénomène qui s'accompagne d'une aspiration d'eau. Ce modèle explique qu'un piège ne fonctionne que 3 à 4 fois. Quand les fibres pariétales sont totalement étirées, il n’est plus possible de les solliciter pour une nouvelle fermeture.
Cette théorie est discutable car la vitesse de fermeture ne peut être plus rapide que 0,2s dans ce phénomène de turgescence, mais elle pourrait expliquer le nombre de fermetures limitées du piège."
Agréable de voir notre Dionée médiatisée.
Rafa, ton lien est super.
jean rémi.
Un extrait de mon site à propos de la fermeture:
"...
Il semble que lorsque le piège est ouvert, les cellules de proches de la charnière et celles de la face interne ont une plus grande pression hydrostatique interne que les cellules de la face externe du piège. Cette plus grande pression hydrostatique (turgescence) est responsable d'un élargissement des cellules interne tout en laissant les cellules externes en l'état, de sorte que les lobes se tiennent écartés. Cette turgescence est due a des protéines, agissant comme des pompes, qui transportent de l'extérieur vers l'intérieur de la cellules des ions et des solutés (principalement des sels de potassium). Lorsque les potentiels d'action atteignent les cellules motrices, elles les perdent brutalement en conduisant à la fermeture des lobes. Cette explication semble être la plus favorable (Findlay, 2000).
Une autre théorie plus ancienne est discutable (Williams et Bennet, 1982) propose que la fermeture du piège s'avère être une réponse sous forme d'une croissance (turgescence) rapide des cellules motrices de la face externes des lobes. A la manière d'une bilame, la couche externe grandit tandis que la couche interne reste identique. La croissance cellulaire serait due à une acidification du milieu externe ayant pour conséquence une diminution des forces ioniques responsables de l'assemblage des fibres (polymères) qui constituent la paroi cellulaire solide. Comprimées contre leur paroi, les cellules profitent du ramollissement de leur coque pour s'étendre, un phénomène qui s'accompagne d'une aspiration d'eau. Ce modèle explique qu'un piège ne fonctionne que 3 à 4 fois. Quand les fibres pariétales sont totalement étirées, il n’est plus possible de les solliciter pour une nouvelle fermeture.
Cette théorie est discutable car la vitesse de fermeture ne peut être plus rapide que 0,2s dans ce phénomène de turgescence, mais elle pourrait expliquer le nombre de fermetures limitées du piège."
Agréable de voir notre Dionée médiatisée.
Rafa, ton lien est super.
jean rémi.
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- Enregistré le : 04 nov. 2003 23:25
Bonjour a tous, en complement des articles du Monde et de celui que
Rafa a donne (rapport de congres), voila le liens de l'article de Nature, que j'ai pas encore lu...
http://www.nature.com/cgi-taf/DynaPage. ... letype=pdf
Bonne lecture,
Herve.
Rafa a donne (rapport de congres), voila le liens de l'article de Nature, que j'ai pas encore lu...
http://www.nature.com/cgi-taf/DynaPage. ... letype=pdf
Bonne lecture,
Herve.