Aldrovanda vue au microscope
Posté : 02 mars 2015 17:00
Bonjour !
Poursuite de la série.
Ce soir, Aldrovanda. Moi, je l'aime beaucoup, cette petite plante aquatique si fragile qui cache des pièges redoutables.
Je vous mets, je ferai aussi cela sur les autres, un schéma du piège pour montrer ou j'ai fait mes observations et expliquer mes conclusions.
Par pitié, ne vous moquez pas des dessins, il ne s'agit pas d'art, et ce n'est surtout pas pour le concours !!!
1. La plante
Vous la connaissez bien, mais elle est très belle au microscope, en fond noir.
Je présente une photo des verticilles, une photo générale d'un piège à machoire, ainsi qu'une photo du limbe, montrant les nombreux chloroplastes : la plante s'alimente bien, aussi, par photosynthèse !!!
2. L'attraction
La premièere chose, as usual, pour une plante, c'est d'attirer les proies.
Bien que ce ne soit pas décrit dans la littérature, des glandes nombreuses semblent jouer ce rôle.
Elle sont situées en zone 1 de mon schéma, mais comme le montre les photos au milieu d'épines : la proie ne va pas s'arrêter là.
Elles sont majoritairement situées sur le limbe en zone 7 de mon schéma. Pour y arriver, Bingo, la proie doit passer par le piège.
Photos : de la zone 1, de la zone 7, détail d'une glande.
3. La capture
Le piège fonctionne avec des cils sensibles (voir schéma 5)
Lorsqu'un seul des cils se casse, le piège se referme en 2 centièmes de secondes. C'est le mouvement végétal actif le plus rapide connu.
Pour emprisonner la proie, la plante dispose d'épines acérées tout autour du piège comme sur la dionée.
Deux photos donc, une d'un cil, assez long, peu rigide et fragile, puis une du bord acéré du piège.
Poursuite de la série.
Ce soir, Aldrovanda. Moi, je l'aime beaucoup, cette petite plante aquatique si fragile qui cache des pièges redoutables.
Je vous mets, je ferai aussi cela sur les autres, un schéma du piège pour montrer ou j'ai fait mes observations et expliquer mes conclusions.
Par pitié, ne vous moquez pas des dessins, il ne s'agit pas d'art, et ce n'est surtout pas pour le concours !!!
1. La plante
Vous la connaissez bien, mais elle est très belle au microscope, en fond noir.
Je présente une photo des verticilles, une photo générale d'un piège à machoire, ainsi qu'une photo du limbe, montrant les nombreux chloroplastes : la plante s'alimente bien, aussi, par photosynthèse !!!
2. L'attraction
La premièere chose, as usual, pour une plante, c'est d'attirer les proies.
Bien que ce ne soit pas décrit dans la littérature, des glandes nombreuses semblent jouer ce rôle.
Elle sont situées en zone 1 de mon schéma, mais comme le montre les photos au milieu d'épines : la proie ne va pas s'arrêter là.
Elles sont majoritairement situées sur le limbe en zone 7 de mon schéma. Pour y arriver, Bingo, la proie doit passer par le piège.
Photos : de la zone 1, de la zone 7, détail d'une glande.
3. La capture
Le piège fonctionne avec des cils sensibles (voir schéma 5)
Lorsqu'un seul des cils se casse, le piège se referme en 2 centièmes de secondes. C'est le mouvement végétal actif le plus rapide connu.
Pour emprisonner la proie, la plante dispose d'épines acérées tout autour du piège comme sur la dionée.
Deux photos donc, une d'un cil, assez long, peu rigide et fragile, puis une du bord acéré du piège.