désolé...
je ne voulais pas attirer la foudre des dieux
Sulawesi
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Re: Sulawesi
Merci à tous pour vos réponses!
On continue la route, direction le Nord sur la scintillante "Trans Sulawesi Highway", une autoroute à deux fois quatre voies, très bien entretenue! Nan c'est pas vrai, c'est une route qui traverse les montagnes tant bien que mal... Pas mal de corruption dans les travaux publics, du coup la construction de la route est simple, on gratte la montagne d'un côté, et on fout la terre et la boue de l'autre, on tasse un peu, et ça passe. Aucun béton, aucun mur, aucune fondation, donc ça pète un an plus tard même pas, et on recommence tout. C'est magnifique.
Sur la route nous nous arrêtons pour voir des formes de N. maxima qui deviennent plus intéressantes. Cette espèce est vraiment très variable!
Même des urnes très "jamban-esques", qui se rapprochent de N. eymae:
N. burbidgeae?
Nous avons dormis à côté du lac Poso, et avons ensuite pris une petit route pour aller voir un site à N. eymae...
La route:
Là encore des tas de formes de N. maxima, mais on retrouve également des N. glabrata:
Et oh! Magie! Que vois-je plus haut dans les arbres? Serait-ce? Non! Et si! Enfin pas sur, ptet un hybride:
Mais elle c'est sur! La ptite dernière du Sulawesi, Nepenthes nigra:
Une variante rouge:
Des N. glabrata par centaines dans les arbres:
Et un beau pied à vagues pour terminer:
Donc aucune Eymi's pour cette fois ci, la suite au prochain numéro, a plus!
On continue la route, direction le Nord sur la scintillante "Trans Sulawesi Highway", une autoroute à deux fois quatre voies, très bien entretenue! Nan c'est pas vrai, c'est une route qui traverse les montagnes tant bien que mal... Pas mal de corruption dans les travaux publics, du coup la construction de la route est simple, on gratte la montagne d'un côté, et on fout la terre et la boue de l'autre, on tasse un peu, et ça passe. Aucun béton, aucun mur, aucune fondation, donc ça pète un an plus tard même pas, et on recommence tout. C'est magnifique.
Sur la route nous nous arrêtons pour voir des formes de N. maxima qui deviennent plus intéressantes. Cette espèce est vraiment très variable!
Même des urnes très "jamban-esques", qui se rapprochent de N. eymae:
N. burbidgeae?
Nous avons dormis à côté du lac Poso, et avons ensuite pris une petit route pour aller voir un site à N. eymae...
La route:
Là encore des tas de formes de N. maxima, mais on retrouve également des N. glabrata:
Et oh! Magie! Que vois-je plus haut dans les arbres? Serait-ce? Non! Et si! Enfin pas sur, ptet un hybride:
Mais elle c'est sur! La ptite dernière du Sulawesi, Nepenthes nigra:
Une variante rouge:
Des N. glabrata par centaines dans les arbres:
Et un beau pied à vagues pour terminer:
Donc aucune Eymi's pour cette fois ci, la suite au prochain numéro, a plus!
- darkland
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Re: Sulawesi
Sympathique toutes ses formes de N.maxima, pour l'hybride cela me fait penser à N.glabrata x N.maxima, en tout cas cette dernière photo de "wavy leaf" est très belle, merci pour le partage et on attend la suite...
"Comme l'a dit Bill X "Le monde est cinglé, mais je suis fier d'en faire partie".
Re: Sulawesi
Pour l'hybride, il y a du nigra dedans, c'est sur, après, on était pas sur pour l'autre parent, soit glabrata, soit maxima, mais définitivement un des deux est nigra.darkland a écrit :Sympathique toutes ses formes de N.maxima, pour l'hybride cela me fait penser à N.glabrata x N.maxima, en tout cas cette dernière photo de "wavy leaf" est très belle, merci pour le partage et on attend la suite...
Pour la suite des photos, effectivement je poste au fur et à mesure que je trie mes photos, donc désolé si ça prend un peu de temps
Re: Sulawesi
Bon ça y est c'est trié!
Allez on continue, après une route qui va vers le nord, nous avons bifurqué vers l'ouest vers les Monts Ponpangeo. Le 4x4 qui nous monte du niveau de la mer jusqu’à 2000m est intéressant... Une vieille machine qui surchauffe, qu'il faut remplir en liquide de refroidissement. Mais une vieille machine qui passe absolument partout. Les premiers N. maxima arrivent assez vite autour de 1000m, la pluie arrive assez rapidement à son tour. La route devient une coulée de boue, les ponts sont défoncés, mais on a pas le choix et on passe dessus, et sur la route du retour, les ponts sont encore plus défoncés, juste un ou deux troncs qui restent entre les deux côtés, des éboulements de terrains, on né régrètte pas sa chournée!
C'est sur cette route que nous avons vu les plus impressionnants pieds de N. maximaet de N. glabrata. Des trucs monstrueux. Je vous laisse apprécier la taille de ces trucs.
Un ptit N. nigra qui s'est perdu sur la latérite:
Et notre guide qui pose à côté du plus gros N. maxima jamais observé (d'après lui)(photo publiée sans son accord):
Celle-ci semble dire "Hmmm je viens d'avoir un bon repas sanglant hin hin hin!"
Nous avons ensuite continué vers l'ouest vers le Gunung Lumut. Nous laissons le van dans un village, chargeons toutes les affaires et nous même sur un 4x4, puis sur une barque à moteur qui remonte la rivière pendant trois heures. Nous dormons dans un petit village au pied de la montagne, de l'autre côté de la rivière, où apparemment les gens n'avaient jamais vu d'homme blanc avant nous. En même temps dans ces contrées reculée c'est très compréhensible. Le lendemain nous partons pour monter le Mont Lumut...
Le chemin commence par une montée très abrupte, puis une légère descente vers le lit d'un torrent que nous remontons pendant plusieurs heures. Nous coupons à travers les bois, puis retrouvons le torrent. Après une très légère pause, nous reprenons la route et commençons la vraie montée, celle qui va nous emmener de 600m à 1600m pour le campement du soir. 4 heures de montée sur un chemin qui ne perd pas son temps à slalomer comme les chemins de nos montagnes européennes. Celui-ci monte tout droit. C'est dur. Ça glisse. Mais nous rencontrons nos première N. tentaculata sous la forêt. Des pièges tout verts. Forme verte ou manque de coloration dûe à l'absence de lumière en sous bois? Ces plantes nous accompagnent jusqu'au campement, sur une crête, siège d'une vue époustouflante sur la vallée et les montagnes alentours. Nous rencontrons alors des N. maxima et N. eymae, qui se ressemblent vraiment beaucoup pour certaines.
Nous campons ici, et le lendemain nous montons jusqu'au sommet, ou du moins pas loin, sur une crête froide et humide, couverte de mousse poussant sur du bois mort. Il fait vraiment froid, la température doit être de 15 ou 16°C. La forêt est vraiment impressionnante tellement elle est moussue. Elle recouvre tout. N'importe quel truc qui sort du sol est recouvert d'une épaisse couche de mousse sur laquelle pousse des tas d'orchidées et de fougères. Dans cet environnement, nous rencontrons le fabuleux N. hamata. Ses pièges sont énormes. Les dents monstrueuses. La longueur de certaines ascidies est de plus de trente centimètres. Nous rencontrons également une plante étrange, qui semble être un croisement entre N. hamata et N. glabrata. C'est ce que dit Alastair, et qui est repris en force par le jeune américain qui est avec nous. Chose étonnante car aucun pied de N. glabrata n'a été vu pendant toute notre montée, et plus généralement dans la région du G. Lumut. Les photos de N. hamata sont souvent floues car j'était pressé par la personne derrière moi de me dépêcher de prendre mes photos, et quand je suis redescendu du sommet un peu plus tard pour reprendre des photos, cette personne avait coupé les pièges pour les rapporter au camp...
A peine arrivés sur le site, les pisteurs/porteurs commencent à couper à la machette toutes les plantes pour nous les montrer "de près", y compris des tout petits redémarrages sur des lianes longues de plusieurs mètres qui montent haut dans les arbres. Nous les stoppons dans ce carnage sans nom. Le jeune amerlock demande aux porteurs de prendre les lianes coupées pour tenter de faire des boutures. Il ne voudra pas partager. J'apprendrai plus tard qu'il a coupé des lianes de N. eymae pour envoyer à ses parents. Nous finissons par redescendre pour camper au bord du torrent que nous avions remonté, et le lendemain nous retournons au van, puis allons dormir à Poso. Presque une semaine de camping/séjour chez l'habitant inoubliables!
Le fameux hybride:
Dents nettement plus petites chez l'hybride:
N. eymae sur le chemin du retour:
Une petite Utricularia striatula qui pousse en lithophyte sur des rochers ombragés:
Voilà c'est tout pour le moment, il ne reste plus grand chose à poster, j'essayerai de le faire ce soir.
Allez on continue, après une route qui va vers le nord, nous avons bifurqué vers l'ouest vers les Monts Ponpangeo. Le 4x4 qui nous monte du niveau de la mer jusqu’à 2000m est intéressant... Une vieille machine qui surchauffe, qu'il faut remplir en liquide de refroidissement. Mais une vieille machine qui passe absolument partout. Les premiers N. maxima arrivent assez vite autour de 1000m, la pluie arrive assez rapidement à son tour. La route devient une coulée de boue, les ponts sont défoncés, mais on a pas le choix et on passe dessus, et sur la route du retour, les ponts sont encore plus défoncés, juste un ou deux troncs qui restent entre les deux côtés, des éboulements de terrains, on né régrètte pas sa chournée!
C'est sur cette route que nous avons vu les plus impressionnants pieds de N. maximaet de N. glabrata. Des trucs monstrueux. Je vous laisse apprécier la taille de ces trucs.
Un ptit N. nigra qui s'est perdu sur la latérite:
Et notre guide qui pose à côté du plus gros N. maxima jamais observé (d'après lui)(photo publiée sans son accord):
Celle-ci semble dire "Hmmm je viens d'avoir un bon repas sanglant hin hin hin!"
Nous avons ensuite continué vers l'ouest vers le Gunung Lumut. Nous laissons le van dans un village, chargeons toutes les affaires et nous même sur un 4x4, puis sur une barque à moteur qui remonte la rivière pendant trois heures. Nous dormons dans un petit village au pied de la montagne, de l'autre côté de la rivière, où apparemment les gens n'avaient jamais vu d'homme blanc avant nous. En même temps dans ces contrées reculée c'est très compréhensible. Le lendemain nous partons pour monter le Mont Lumut...
Le chemin commence par une montée très abrupte, puis une légère descente vers le lit d'un torrent que nous remontons pendant plusieurs heures. Nous coupons à travers les bois, puis retrouvons le torrent. Après une très légère pause, nous reprenons la route et commençons la vraie montée, celle qui va nous emmener de 600m à 1600m pour le campement du soir. 4 heures de montée sur un chemin qui ne perd pas son temps à slalomer comme les chemins de nos montagnes européennes. Celui-ci monte tout droit. C'est dur. Ça glisse. Mais nous rencontrons nos première N. tentaculata sous la forêt. Des pièges tout verts. Forme verte ou manque de coloration dûe à l'absence de lumière en sous bois? Ces plantes nous accompagnent jusqu'au campement, sur une crête, siège d'une vue époustouflante sur la vallée et les montagnes alentours. Nous rencontrons alors des N. maxima et N. eymae, qui se ressemblent vraiment beaucoup pour certaines.
Nous campons ici, et le lendemain nous montons jusqu'au sommet, ou du moins pas loin, sur une crête froide et humide, couverte de mousse poussant sur du bois mort. Il fait vraiment froid, la température doit être de 15 ou 16°C. La forêt est vraiment impressionnante tellement elle est moussue. Elle recouvre tout. N'importe quel truc qui sort du sol est recouvert d'une épaisse couche de mousse sur laquelle pousse des tas d'orchidées et de fougères. Dans cet environnement, nous rencontrons le fabuleux N. hamata. Ses pièges sont énormes. Les dents monstrueuses. La longueur de certaines ascidies est de plus de trente centimètres. Nous rencontrons également une plante étrange, qui semble être un croisement entre N. hamata et N. glabrata. C'est ce que dit Alastair, et qui est repris en force par le jeune américain qui est avec nous. Chose étonnante car aucun pied de N. glabrata n'a été vu pendant toute notre montée, et plus généralement dans la région du G. Lumut. Les photos de N. hamata sont souvent floues car j'était pressé par la personne derrière moi de me dépêcher de prendre mes photos, et quand je suis redescendu du sommet un peu plus tard pour reprendre des photos, cette personne avait coupé les pièges pour les rapporter au camp...
A peine arrivés sur le site, les pisteurs/porteurs commencent à couper à la machette toutes les plantes pour nous les montrer "de près", y compris des tout petits redémarrages sur des lianes longues de plusieurs mètres qui montent haut dans les arbres. Nous les stoppons dans ce carnage sans nom. Le jeune amerlock demande aux porteurs de prendre les lianes coupées pour tenter de faire des boutures. Il ne voudra pas partager. J'apprendrai plus tard qu'il a coupé des lianes de N. eymae pour envoyer à ses parents. Nous finissons par redescendre pour camper au bord du torrent que nous avions remonté, et le lendemain nous retournons au van, puis allons dormir à Poso. Presque une semaine de camping/séjour chez l'habitant inoubliables!
Le fameux hybride:
Dents nettement plus petites chez l'hybride:
N. eymae sur le chemin du retour:
Une petite Utricularia striatula qui pousse en lithophyte sur des rochers ombragés:
Voilà c'est tout pour le moment, il ne reste plus grand chose à poster, j'essayerai de le faire ce soir.
- un lolo de plus
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Re: Sulawesi
J'avais pas vu la dernière page, ça envoie vraiment du pâté !
Je ne savais pas que des urnes de n. glabrata pouvaient être aussi grandes en fait.
Quand au nouveau n. nigra c'est tout ce que j'aime évidemment, un espèce de tentaculata avec des couleurs de mikei... miam !
à bientôt
lolo
Je ne savais pas que des urnes de n. glabrata pouvaient être aussi grandes en fait.
Quand au nouveau n. nigra c'est tout ce que j'aime évidemment, un espèce de tentaculata avec des couleurs de mikei... miam !
à bientôt
lolo
Saint muluensis priez pour nous!
Re: Sulawesi
Merci Lolo, N. nigra est en effet très sympa, et ne grimpe vraiment pas beaucoup. Assez répandue, nous en avons trouvé dans pas mal d'endroits, mais jamais en grande quantité.
Donc finissons ce voyage, après Poso, nous avons parcouru les montagnes du centre ouest de l'île. La route qui passe par un très beau col nous permet de découvrir la forme naine de N. maxima. Non décrite, elle est pourtant dans un endroit très localisé et très stable, aucune autre forme de maxima ne poussait à cet endroit. Nepenthes maxima var. nana? Very very cute plante. Les lianes font 80cm de haut, les pièges qui ont une gueule de vrai bonhomme, font une dizaine de cm de haut, vraiment très amusant comme plante, c'est la première fois que j'ai du sortir mon objectif macro pour prendre en photo des maxi's! Bien évidemment autours poussaient des N. glabrata en masse, et beaucoup de Drosera burmanii sur le sol. Un ou deux hybrides entre les deux aussi. En redescendant dans la vallée, nous passons aux milieu de beaucoup de tourbières, dans lesquelles poussent encore des N. maxima.
Le jour d'après nous avons traversé le Parc National de Lore Lindu. Très fameux pour ses oiseaux (pas vus...) et pour son unique pied de Nepenthes pitopangii, "tellement coupé et braconné par les amateurs de Nepenthes que nous ne sommes pas sur de la voir, y'a qu'un seul pied" bla bla bla, nous avons marché 10 minutes sur le chemin et nous avons trouvé un espèce de monstre. Un buisson de 4m de long, 2m de large et 1m20 de haut, comportant au moins 30 points de croissance, des lianes qui courent sur le sol et qui racinent partout, enfin un truc dément. Nepenthes pitopangii est bel et bien là! Plus loin sur le chemin encore des N. maxima, de taille normal cette fois-ci, et encore d'autres N. tentaculata.
Pour finir une dernière montagne que nous avons monté vers Palu, jamais explorée avant nous, dans laquelle nous avons trouvé probablement une nouvelle sous-espèce de N. maxima, N. maxima var. appendiculata? La suite le dira.
La forêt ressemblait à ça:
Les plantes à ça:
Un autre truc intéressant, trouvé dans un autre lieu, une toute nouvelle espèce de Nepenthes. La suite au prochain numéro...
Donc finissons ce voyage, après Poso, nous avons parcouru les montagnes du centre ouest de l'île. La route qui passe par un très beau col nous permet de découvrir la forme naine de N. maxima. Non décrite, elle est pourtant dans un endroit très localisé et très stable, aucune autre forme de maxima ne poussait à cet endroit. Nepenthes maxima var. nana? Very very cute plante. Les lianes font 80cm de haut, les pièges qui ont une gueule de vrai bonhomme, font une dizaine de cm de haut, vraiment très amusant comme plante, c'est la première fois que j'ai du sortir mon objectif macro pour prendre en photo des maxi's! Bien évidemment autours poussaient des N. glabrata en masse, et beaucoup de Drosera burmanii sur le sol. Un ou deux hybrides entre les deux aussi. En redescendant dans la vallée, nous passons aux milieu de beaucoup de tourbières, dans lesquelles poussent encore des N. maxima.
Le jour d'après nous avons traversé le Parc National de Lore Lindu. Très fameux pour ses oiseaux (pas vus...) et pour son unique pied de Nepenthes pitopangii, "tellement coupé et braconné par les amateurs de Nepenthes que nous ne sommes pas sur de la voir, y'a qu'un seul pied" bla bla bla, nous avons marché 10 minutes sur le chemin et nous avons trouvé un espèce de monstre. Un buisson de 4m de long, 2m de large et 1m20 de haut, comportant au moins 30 points de croissance, des lianes qui courent sur le sol et qui racinent partout, enfin un truc dément. Nepenthes pitopangii est bel et bien là! Plus loin sur le chemin encore des N. maxima, de taille normal cette fois-ci, et encore d'autres N. tentaculata.
Pour finir une dernière montagne que nous avons monté vers Palu, jamais explorée avant nous, dans laquelle nous avons trouvé probablement une nouvelle sous-espèce de N. maxima, N. maxima var. appendiculata? La suite le dira.
La forêt ressemblait à ça:
Les plantes à ça:
Un autre truc intéressant, trouvé dans un autre lieu, une toute nouvelle espèce de Nepenthes. La suite au prochain numéro...
Re: Sulawesi
Superbe reportage et magnifiques photos.
Merci.:D
Merci.:D
"Il aurait un rire sardonique qui inspire la terreur, pas trop sardonique quand même, parce qu'il sait pas ce que ça veux dire...
quand c'est mal fait ça fait pas peur !"
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- darkland
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Re: Sulawesi
Superbe plein les yeux, on voient beaucoup mieux ce fameux hybride( pas mal du tout d'ailleurs, je suis fan )et cela ressemble bien à N.nigra x N.glabrata ou l'inverse...
Merci du partage, çà envoie.
Merci du partage, çà envoie.
"Comme l'a dit Bill X "Le monde est cinglé, mais je suis fier d'en faire partie".