Plus qu'un véritable terrarium de bureau c'est pour l'instant quelques essais de matériel et de mesures pour déterminer la faisabilité...
Plutôt que de partir sur une espèce et d'essayer de la faire pousser j'ai décidé de procéder en sens inverse, à savoir étudier quelles conditions je pouvais créer et maintenir (en low tech du pauvre), et en fonction de ça, le cas échéant, choisir une plante adaptée.
Le défi de départ c'est le format de la boîte. Avec 12 x 10 x 20 cm (boîte à Mantis en acrylique, j'ai trouvé le format intéressant et la cuve intégrée à la base bien étudiée), pas de quoi faire des folies.
L'image paraît sombre mais la lampe Led pulse bien. Elle sera située à 10 cm de la plante environ et n'a qu'une surface de 10 x 10 cm à éclairer. C'est un mélange blanc/bleu mais je n'ai pas encore reçu le Luxmètre pour mesurer la luminosité.
Trois parois verticales de la boîte sont perforées. C'est bien pour la circulation d'air, mais moins pratique pour maintenir l'humidité. La rampe Led sur le dessus bouche en grande partie le toît grillagé, c'est déjà ça.
À ce stade je me contente de mesurer les fluctuations de température et d'humidité au cours de la journée avec le capteur à l'intérieur et un verre d'eau de la même taille que le pot qui serait utilisé. D'abord sans éclairage, puis avec. Dans un bac aussi petit, la lampe Led arrive quand même à réchauffer l'air de 2 ou 3 degrés C de plus que dans le reste de la pièce. Par contre, ça fait chuter l'humidité d'environ 5% peu de temps après que la lampe est allumée, puis 10% après plusieurs heures d'éclairage. Si ça ne descend pas en dessous de 45-50% au plus chaud je pense que ça reste jouable, mais j'ai un peu peur pour l'été.
Projet Nano Desk Box
Re: Projet Nano Desk Box
Avancement du projet, stade "technique"
Matériel utilisé : terra acrylique 12 x10 x 20 cm, toît grillagé à l'origine****, 3 faces micro perforées dont un fond blanc uni réfléchissant.
Cuve intégrée au sol (non étanche à l'origine).
(Boîte d'élevage à Mantes, différentes marques génériques peuvent être trouvées sur le net).
*** Le toît grillagé bloquait 1/3 à 1/4 de la lumière et provoquait une évaporation trop rapide. Il a été remplacé par une paroi plastique transparente sans bordure style "fond de boîte".
Rampe Led chinoise 5 watts, 18 x 7 cm
21 led blanches + 3 led bleues
Lampe pour aquarium "étanche" (probablement IP67)
Capteurs température et hygrométrie générique chinois
Précision 1°C et 5% RH
Matériel utilisé : terra acrylique 12 x10 x 20 cm, toît grillagé à l'origine****, 3 faces micro perforées dont un fond blanc uni réfléchissant.
Cuve intégrée au sol (non étanche à l'origine).
(Boîte d'élevage à Mantes, différentes marques génériques peuvent être trouvées sur le net).
*** Le toît grillagé bloquait 1/3 à 1/4 de la lumière et provoquait une évaporation trop rapide. Il a été remplacé par une paroi plastique transparente sans bordure style "fond de boîte".
Rampe Led chinoise 5 watts, 18 x 7 cm
21 led blanches + 3 led bleues
Lampe pour aquarium "étanche" (probablement IP67)
Capteurs température et hygrométrie générique chinois
Précision 1°C et 5% RH
Re: Projet Nano Desk Box
Environnement :
Local de 30 m carrés, position du bac éloignée à 5 mètres d'une baie vitrée orientée W/NW
Luminosité ambiante, sous éclairage Led Plafond, (22 février 2022, ciel très couvert)
700 Lux environ dans la pièce, 447 Lux mesurés dans le terra sans éclairage
Luminosité rampe Led allumée
Avec le toît grillagé d'origine, distance 9 cm, 9300 Lux (marge erreur 3%)
Avec le toît "étanche" transparent, distance 9 cm, 12 000 lux (marge erreur 3%)
Avec le toît "étanche", distance 12 cm, 10 500 Lux (marge erreur 3%)
Local de 30 m carrés, position du bac éloignée à 5 mètres d'une baie vitrée orientée W/NW
Luminosité ambiante, sous éclairage Led Plafond, (22 février 2022, ciel très couvert)
700 Lux environ dans la pièce, 447 Lux mesurés dans le terra sans éclairage
Luminosité rampe Led allumée
Avec le toît grillagé d'origine, distance 9 cm, 9300 Lux (marge erreur 3%)
Avec le toît "étanche" transparent, distance 9 cm, 12 000 lux (marge erreur 3%)
Avec le toît "étanche", distance 12 cm, 10 500 Lux (marge erreur 3%)
Re: Projet Nano Desk Box
Tests préliminaires de température et humidité
Mesures ambiantes dans la pièce en fin d'après-midi, avec le chauffage
Mesures Terrarium lampe allumée, toît grillagé après des heures de chauffe, fin d'après-midi
Gobelet rempli d'eau aux 2/3
Mesures Terrarium lampe allumée, toît "étanche" après des heures de chauffe, fin d'après-midi
Cuve remplie d'eau 1 cm
Mesures ambiantes dans la pièce en fin d'après-midi, avec le chauffage
Mesures Terrarium lampe allumée, toît grillagé après des heures de chauffe, fin d'après-midi
Gobelet rempli d'eau aux 2/3
Mesures Terrarium lampe allumée, toît "étanche" après des heures de chauffe, fin d'après-midi
Cuve remplie d'eau 1 cm
Re: Projet Nano Desk Box
Synthèse des premières observations "techniques" :
La rampe Led augmente la température à l'intérieur du terrarium d'environ 3°C, capteur au niveau de la plante.
La rampe Led fait chuter la RH de 10% avec le toît grillagé.
La rampe Led maintient à peu près une RH de 55-60% avec le toît plastique transparent avec toute la surface de la cuve en eau.
Suite au prochain épisode, tests avec pot de 8 cm, sphaigne longue fibre.
La rampe Led augmente la température à l'intérieur du terrarium d'environ 3°C, capteur au niveau de la plante.
La rampe Led fait chuter la RH de 10% avec le toît grillagé.
La rampe Led maintient à peu près une RH de 55-60% avec le toît plastique transparent avec toute la surface de la cuve en eau.
Suite au prochain épisode, tests avec pot de 8 cm, sphaigne longue fibre.
Re: Projet Nano Desk Box
Quelques ajustements, toujours un peu à l'aveugle en l'absence de plante dans la boîte et sans le volume d'eau réel dans la cuve.
Film plastique à l'arrière, sur l'extérieur de la paroi blanche, pour limiter un peu l'évaporation. Gain d'hygrométrie théorique : 5% J'espère avoir encore 5% de plus avec toute la surface de la cuve en eau, mais c'est sans compter le pot et l'évaporation à sa surface.
Tentative d'étanchéifier la cuve avec du silicone transparent. Je vais laisser sécher environ 24 h avant de mettre en eau dans une cuve pour vérifier le résultat.
Joint silicone intérieur et extérieur sur la base, intérieur uniquement à la jonction des parois verticales.
Réception des pots 7 x 7 x 8 cm.
Vérification de l'espace dans la cuve J'ai choisi, à force de chercher, des pots présentant beaucoup de fentes et de trous de drainage pour que, inversement, l'eau remonte vite par capillarité dans la sphaigne. Réception de la sphaigne déshydratée En attente du séchage du silicone et du test d'étanchéité avant de procéder au remplissage du pot pour pouvoir, enfin, tester l'hygrométrie en conditions plus proches de l'utilisation prévue.
Film plastique à l'arrière, sur l'extérieur de la paroi blanche, pour limiter un peu l'évaporation. Gain d'hygrométrie théorique : 5% J'espère avoir encore 5% de plus avec toute la surface de la cuve en eau, mais c'est sans compter le pot et l'évaporation à sa surface.
Tentative d'étanchéifier la cuve avec du silicone transparent. Je vais laisser sécher environ 24 h avant de mettre en eau dans une cuve pour vérifier le résultat.
Joint silicone intérieur et extérieur sur la base, intérieur uniquement à la jonction des parois verticales.
Réception des pots 7 x 7 x 8 cm.
Vérification de l'espace dans la cuve J'ai choisi, à force de chercher, des pots présentant beaucoup de fentes et de trous de drainage pour que, inversement, l'eau remonte vite par capillarité dans la sphaigne. Réception de la sphaigne déshydratée En attente du séchage du silicone et du test d'étanchéité avant de procéder au remplissage du pot pour pouvoir, enfin, tester l'hygrométrie en conditions plus proches de l'utilisation prévue.
Re: Projet Nano Desk Box
La cuve sentant toujours un peu l'acide acétique après presque 24 heures de séchage, la mise en eau attendra encore (au moins une journée et une nuit supplémentaire).
Pendant ce temps, essai de la sphaigne reçue hier pour vérifier sa capacité de rétention d'eau.
Prélèvement de 5 grammes (au pif !) de produit sec et pesée à sec dans un grand gobelet. Hydratation à l'eau déminéralisée, tri de quelques "brindilles" dures dans le mix, et pesée à nouveau de la sphaigne saturée après évacuation de l'eau résiduelle au fond du gobelet. De 5 grammes on passe à presque 100 grammes, donc on est vraiment pas loin des 20 x annoncés. C'est la sphaigne réhydratée égouttée, donc pas mal du tout cette marque "Lucky reptile".
Rebelote avec un pot, cette fois. Finalement, tout le volume du grand gobelet tient dans un pot de 7 x 7 sur 8 cm de haut, en tassant le fond mais sans presser énormément le reste. Pesée du pot "frais" avant mise en place dans le terra sous lumière. Le fait de tasser/presser a dû chasser un peu d'eau du mix (environ 12 grammes d'eau en moins). Mise en place pour tester l'évaporation dans le temps, sur le petit plateau vide. Et bien sûr en profiter aussi pour mesurer la RH dans le terra sans cuve d'eau sous le pot. Dans l'état, la RH reste à environ 55% au départ. C'est l'évolution dans le temps qui m'intéresse. Le pot sera sorti et pesé à nouveau par la suite. Aucun écoulement d'eau sous le pot n'est visible.
Pendant ce temps, essai de la sphaigne reçue hier pour vérifier sa capacité de rétention d'eau.
Prélèvement de 5 grammes (au pif !) de produit sec et pesée à sec dans un grand gobelet. Hydratation à l'eau déminéralisée, tri de quelques "brindilles" dures dans le mix, et pesée à nouveau de la sphaigne saturée après évacuation de l'eau résiduelle au fond du gobelet. De 5 grammes on passe à presque 100 grammes, donc on est vraiment pas loin des 20 x annoncés. C'est la sphaigne réhydratée égouttée, donc pas mal du tout cette marque "Lucky reptile".
Rebelote avec un pot, cette fois. Finalement, tout le volume du grand gobelet tient dans un pot de 7 x 7 sur 8 cm de haut, en tassant le fond mais sans presser énormément le reste. Pesée du pot "frais" avant mise en place dans le terra sous lumière. Le fait de tasser/presser a dû chasser un peu d'eau du mix (environ 12 grammes d'eau en moins). Mise en place pour tester l'évaporation dans le temps, sur le petit plateau vide. Et bien sûr en profiter aussi pour mesurer la RH dans le terra sans cuve d'eau sous le pot. Dans l'état, la RH reste à environ 55% au départ. C'est l'évolution dans le temps qui m'intéresse. Le pot sera sorti et pesé à nouveau par la suite. Aucun écoulement d'eau sous le pot n'est visible.
Re: Projet Nano Desk Box
Les premiers essais avec la sphaigne semblent concluants. Après une journée en éclairage et une journée sans éclairage (deux jours, deux nuits), la sphaigne dans le pot n'a perdu que 5 grammes / 5 ml d'eau. Évidemment, c'est juste l'évaporation du substrat, il n'y a pas encore de plante qui elle aussi aura besoin d'eau.
Trois heures après la première pesée, une seconde a indiqué 77,2 grammes. Une modélisation hâtive laisse supposer une perte de 0,2 gramme / 0.2 ml par heure sous éclairage actuellement, et sans doute deux fois moins pendant la nuit. Encore une fois, sans plante ça ne veut rien dire, mais ça fera un point de comparaison pour la suite.
Le substrat est juste humide au toucher en surface, pas détrempé. Un bon point pour la lutte contre les algues, mais est-ce que ce sera suffisant pour un drosera tropical ?
En l'absence d'un bac d'eau sous le pot, la RH fluctue entre 55% et 59% (avec toujours hélas la même marge d'erreur de 5%). Essai de faire remonter la saturation en eau du substrat en plaçant à nouveau le pot dans environ 1 cm d'eau. La RH grimpe de 5% en seulement quelques minutes. Avantage et inconvénient d'un terra aussi petit, les paramètres changent très vite.
L'objectif final est d'obtenir environ 70% d'humidité dans l'air tout en conservant un substrat non détrempé dans le pot (et une certaine circulation d'air, même limitée) pour éviter la prolifération des cyanobactéries et des algues.
Résultat de l'essai de capillarité de la sphaigne : réhydratation très rapide. En dix minutes (peut-être même plus rapidement) la saturation en eau est remontée plus haut que celle de départ.
11 grammes / 11 ml sont montés dans le substrat.
Pendant ce temps le test d'étanchéité de la cuve du terra se poursuit. Elle a été remplie d'eau déminéralisée et va encore rester en eau jusqu'à demain pour vérifier qu'il n'y aura pas de fuite, et aussi commencer à diluer les éventuels résidus d'acide acétique. Il n'y avait pratiquement plus d'odeur après 48 heures de séchage du silicone, mais ce n'était pas totalement neutre non plus. La cuve ne sera jamais remplie aussi haut en volume, seulement environ 1 cm probablement. À moins que l'envie de me prenne d'y placer de la sphaigne vivante... Mais là, c'est tout un système quasi hydroponique qu'il faudrait étudier.
Trois heures après la première pesée, une seconde a indiqué 77,2 grammes. Une modélisation hâtive laisse supposer une perte de 0,2 gramme / 0.2 ml par heure sous éclairage actuellement, et sans doute deux fois moins pendant la nuit. Encore une fois, sans plante ça ne veut rien dire, mais ça fera un point de comparaison pour la suite.
Le substrat est juste humide au toucher en surface, pas détrempé. Un bon point pour la lutte contre les algues, mais est-ce que ce sera suffisant pour un drosera tropical ?
En l'absence d'un bac d'eau sous le pot, la RH fluctue entre 55% et 59% (avec toujours hélas la même marge d'erreur de 5%). Essai de faire remonter la saturation en eau du substrat en plaçant à nouveau le pot dans environ 1 cm d'eau. La RH grimpe de 5% en seulement quelques minutes. Avantage et inconvénient d'un terra aussi petit, les paramètres changent très vite.
L'objectif final est d'obtenir environ 70% d'humidité dans l'air tout en conservant un substrat non détrempé dans le pot (et une certaine circulation d'air, même limitée) pour éviter la prolifération des cyanobactéries et des algues.
Résultat de l'essai de capillarité de la sphaigne : réhydratation très rapide. En dix minutes (peut-être même plus rapidement) la saturation en eau est remontée plus haut que celle de départ.
11 grammes / 11 ml sont montés dans le substrat.
Pendant ce temps le test d'étanchéité de la cuve du terra se poursuit. Elle a été remplie d'eau déminéralisée et va encore rester en eau jusqu'à demain pour vérifier qu'il n'y aura pas de fuite, et aussi commencer à diluer les éventuels résidus d'acide acétique. Il n'y avait pratiquement plus d'odeur après 48 heures de séchage du silicone, mais ce n'était pas totalement neutre non plus. La cuve ne sera jamais remplie aussi haut en volume, seulement environ 1 cm probablement. À moins que l'envie de me prenne d'y placer de la sphaigne vivante... Mais là, c'est tout un système quasi hydroponique qu'il faudrait étudier.
Re: Projet Nano Desk Box
Allez, on y est presque...
Sphaigne en place, en espérant que ça reprenne pas trop lentement. Je garde un oeil là dessus... Coïncidence ? D'après la météo, la RH ambiante dehors en fin de journée était retombée à 48% Dans la pièce, elle est encore plus basse. Ce matin, sans éclairage et sans chauffage (stabilisation à 17°C), je l'ai trouvée à 41%.
Sphaigne en place, en espérant que ça reprenne pas trop lentement. Je garde un oeil là dessus... Coïncidence ? D'après la météo, la RH ambiante dehors en fin de journée était retombée à 48% Dans la pièce, elle est encore plus basse. Ce matin, sans éclairage et sans chauffage (stabilisation à 17°C), je l'ai trouvée à 41%.
Re: Projet Nano Desk Box
La RH semble stabilisée par l'ajout de la sphaigne. Il n'y a plus de grande différence en fonction de la température (les écarts sont faibles) ou de l'éclairage.
Le test d'étanchéité de la cuve est concluant, elle est mise en service. Plus aucune odeur acide du silicone. Elle a bien sûr été vidée mais pas encore remplie à nouveau.
Mise sous sac ziplock du reste de la sphaigne vivante pour tenter de la sauver. Lit de sphaigne morte réhydratée, et exposition lumière du jour indirecte.
J'avais commandé 1 litre de sphaigne "vivante". J'ai reçu un sac d'un litre de sphaigne fraîche mais avec très, très peu de pousses vertes.
En triant pour rincer à l'eau déminéralisée, j'ai enlevé beaucoup de débris végétaux divers (feuilles mortes, aiguilles de pin, brindilles...) et j'ai également retiré des insectes bien vivants, eux... Et en lavant les pousses rescapées, l'eau déminéralisée a fait une sorte de mousse blanche en surface. J'ignore si la sphaigne avait été imprégnée d'un produit avant transport mais ça fait bizarre. En tout cas, il était indispensable de la nettoyer avant utilisation. Il est impensable d'introduire directement de la sphaigne reçue dans cet état.
Le test d'étanchéité de la cuve est concluant, elle est mise en service. Plus aucune odeur acide du silicone. Elle a bien sûr été vidée mais pas encore remplie à nouveau.
Mise sous sac ziplock du reste de la sphaigne vivante pour tenter de la sauver. Lit de sphaigne morte réhydratée, et exposition lumière du jour indirecte.
J'avais commandé 1 litre de sphaigne "vivante". J'ai reçu un sac d'un litre de sphaigne fraîche mais avec très, très peu de pousses vertes.
En triant pour rincer à l'eau déminéralisée, j'ai enlevé beaucoup de débris végétaux divers (feuilles mortes, aiguilles de pin, brindilles...) et j'ai également retiré des insectes bien vivants, eux... Et en lavant les pousses rescapées, l'eau déminéralisée a fait une sorte de mousse blanche en surface. J'ignore si la sphaigne avait été imprégnée d'un produit avant transport mais ça fait bizarre. En tout cas, il était indispensable de la nettoyer avant utilisation. Il est impensable d'introduire directement de la sphaigne reçue dans cet état.